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23 avril 2015 4 23 /04 /avril /2015 18:53

Sur beaucoup d’événements ou d’épisodes de notre histoire, on dispose d’ouvrages d’entretiens généralement rédigés par des journalistes avec des personnalités du monde politique, syndical, associatif, de mémoires ou de souvenirs personnels.

L’analyse critique, la confrontation des témoignages qui ont souvent le mérite de révéler des faits qui resteraient ignorés, la correction des oublis parfois délibérés, la réfutation des affirmations erronées, le recours à tous les moyens concrets de la recherche, notamment les archives et documents sont indispensables.

Dans mes écrits concernant l’histoire de la Fonction publique et celle du syndicalisme, ceux qui s’appliquent aux périodes au cours desquelles j’ai exercé des responsabilités administratives, syndicales ou politiques présentent des témoignages reflétant ma connaissance directe des faits et mon implication personnelle.

En évoquant l’unité et la fidélité d’un « parcours » de plus de trois quarts de siècle dans une version plus développée j’apporte à ces travaux menés en qualité de témoin, acteur et auteur, une illustration et un complément.

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12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 07:52

                                                   

« L’unité d’un parcours militant de plus de trois quarts de siècle »

Une nouvelle version revue et augmentée

 

                                       

 

« L’Etat et les fonctionnaires, de la plume sergent-major à internet ».Une histoire de la politique salariale de l’Etat et de l’organisation des carrières des fonctionnaires ( 2 tomes)

 

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11 avril 2015 6 11 /04 /avril /2015 09:22

L’étude de l’histoire du syndicalisme des fonctionnaires - au sein duquel j’ai exercé des responsabilités à tous les niveaux de ses structures locales et nationales pendant des décennies et dont j’ai publié les premiers résultats à une époque où le sujet n’avait pratiquement pas été traité, m’a apporté la conviction que ce syndicalisme a été au long du XXe siècle un acteur important de l’histoire administrative. Lorsque Jeanne Siwek-Pouydesseau s’est engagée dans cette étud, elle a fait la même constatation,

Pourtant, quelles qu’en soient les raisons, multiples et diverses, et non formulées, cette vision historique est encore loin d’être perçue comme il le faudrait, même dans les milieux qui auraient des raisons de s’en féliciter.

Pour ne citer que cet épisode qui date d’une vingtaine d’années, lorsque j’ai remis à l’éditeur de « l’Histoire de la fonction publique en France » le texte qui devait traiter dans le troisième volume la période de la IIIe République, je n’ai pas cédé à sa prétention de me faire entrer dans le cadre des idées reçues en renonçant aux quelques évocations pourtant assez limitées du rôle du syndicalisme.

Les auteurs de travaux sur l’histoire du syndicalisme général des fonctionnaires ne se sont jamais bousculés au portillon, et on verra ce qu’il en sera du chantier ouvert pour les périodes 1970-1980 et au-delà. Certains analystes de la fonction publique qui disposent de moyens d’expression et ne connaissent ni la réalité syndicale ni son histoire auraient plutôt tendance à accréditer quelques poncifs pour en faire des « vérités » établies et finissent par contaminer certains dirigeants syndicaux, notamment à propos de la période de l’entre-deux-guerres.

Je crois être assez bien placé pour savoir que les responsables en exercice des organisations du mouvement syndical des fonctionnaires ont autre chose à faire que de s’engager dans la recherche historique. Mais la connaissance et le respect de l’histoire de la fonction publique et de celle du syndicalisme qui lui est associée sont des impératifs qui ne sauraient se prêter à des faux semblants, à des instrumentalisations ou à la chape de plomb du silence. La question du rapport à l’histoire reste posée.

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7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 14:45

A la lecture de la presse, on peut constater qu’un mot semble s’implanter plus fortement dans le langage politique : la « castagne »

Mes ancêtres Béarnais doivent bien rigoler dans leurs tombes… et moi avec eux, car c’est bien ma posture aujourd’hui.

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 16:00

Selon « Trajectoires », bulletin de la DGAFP, une nouvelle réunion présidée par Marylise Lebranchu a eu lieu le 10 mars avec les organisations syndicales et les employeurs publics sur l’avenir de la fonction publique. La ministre a fait la synthèse des travaux engagés depuis septembre et annoncé les premières orientations de réformes. Les travaux doivent se poursuivre jusqu’à la « réunion de clôture » le 2 juin 2015.

Le bulletin « Fonction publique » n° 229 d’avril 2015 rend compte de l’intervention qui a été faite au nom des fédérations CGT des trois fonctions publiques.

Comme chacun sait, je n’interviens pas dans les débats en cours sur la situation de la fonction publique et sur son avenir (bien que j’en aie parfaitement le droit). Je m’en tiens à une certaine promotion des travaux consacrés l’histoire de la fonction publique et du syndicalisme des fonctionnaires en espérant qu’elle trouve les relais nécessaires.

Cela dit je tiens à réaffirmer mon attachement à un certain nombre de propositions – qu’elles émanent du gouvernement ou des organisations syndicales - concernant la pérennité de la fonction publique de carrière, et des principes fondamentaux du régime français de fonction publique.

Mais je persiste à penser qu’il faut rejeter et combattre sans ambiguïté les tentatives de sous-estimer et de minimiser la portée de certaines atteintes portées au statut général des fonctionnaires au long des trente dernières années.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 10:56

Une certaine vision de l’histoire de la fonction publique a été construite au long des trois dernières décennies par compilation de textes divers accompagnée d’une répétition de formules et citations avec pour objectif de faire des réformes de 1983-1984-1986 l’alpha et l’omega du régime général de la fonction publique française, et du ministre qui en a assumé la responsabilité le personnage central de l’histoire de la fonction publique des origines à nos jours. Cette vision s’est toujours accompagnée d’une tendance à minimiser les profondes atteintes portées par la suite au régime général de la fonction publique.

Cette démarche, qui comporte une bonne part d’instrumentalisation, s’est affirmée à l’occasion des manifestations commémoratives du 30e anniversaire du titre Ier de l’actuelle version du statut général des fonctionnaires, puis des titres II et III en attendant celle du titre IV en 2016.

Elle s’est poursuivie ensuite par de nouvelles interprétations destinées à réduire les effets des inflexions et adaptations aux critiques les plus incontournables, relayées et diffusées grâce à un efficace réseau médiatico - syndicalo - associatif.

Une alliance objective s’est créée depuis une dizaine d’années entre cette entreprise et ceux qui - dans le mouvement syndical et ailleurs- s’emploient pour des raisons non explicitées, diverses et contradictoires, à éluder l’Histoire conjointe de la fonction publique et du syndicalisme des fonctionnaires.

Le contexte est apparemment celui d’une défense commune des principes fondamentaux qui caractérisent la conception française de la fonction publique, et de la portée de réformes à l’élaboration desquelles je crois avoir pris une large part. Mais on n’ignore pas que mes vues sont divergentes sur des points essentiels et on en déduit qu’il faut les ignorer ou les occulter.

Aujourd’hui je pense que certaines limites ont été atteintes, et que nous sommes en pleine confusion. Il serait temps que chacun assume ses responsabilités en fonction de la place qu’il occupe - ou devrait occuper - sur le terrain de l’histoire de la fonction publique et de son syndicalisme.

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 17:35

Entre 200 et 300 romanciers, essayistes, illustrateurs, dramaturges etc ont défilé samedi dernier 21 mars dans les allées du Salon du livre pour appeler l’attention de l’opinion sur les menaces qui pèsent sur leurs métiers.

Cette manifestation, organisée par le Conseil permanent des écrivains (CPE), prolongeait une Lettre ouverte titrée « A ceux qui oublient qu’il faut des auteurs pour faire des livres ».

La présidente, Valentine Goby s’est écriée

« Un livre numérique est aussi un livre ».

J’en connais plus d’un qui devrait en prendre de la graine !

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 09:59

Dans Le Monde Eco et Entreprise, cahier de ce journal daté Dimanche 15-lundi 16 mars 2014 un article de Michel Noblecourt est intitulé « La CGT recule dans la plupart de ses bastions » avec en sous-titre « Air-France, Orange, Renault, Air bus, La Poste, le syndicat est victime de son image et de la sociologie ».

L’auteur décrit ce qu’il appelle « une hémorragie » comme étant « particulièrement nette dans les entreprises publiques » où selon les chiffres dont il fait état, « elle perd du terrain à chaque scrutin » le plus souvent au profit de la CFE-CGC dont il estime qu’elle est favorisée par les changements de la sociologie consistant dans la « baisse des catégories ouvrières » et une « montée des cols blancs ».

Il note que ce phénomène se produit « à l’exception notable » des trois fonctions publiques où les élections professionnelles ont marqué un recul mais où « la CGC est inexistante ».

En restant sur le terrain où se situe ma démarche, et sans intervenir dans les différents aspects de la réflexion du mouvement syndical des fonctionnaires sur ces élections, je pense que la faiblesse de la CGC dans la fonction publique est un phénomène dont l’analyse est une des données importantes de l’ histoire de cette dernière et de celle de son syndicalisme.

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15 mars 2015 7 15 /03 /mars /2015 11:28

Aujourd’hui, le débat sur la fonction publique prend de nouvelles dimensions. Traditionnellement limité dans le cadre de travaux juridiques ou de science administrative il vient s’insérer de diverses façons dans les investigations de la sociologie.

Cette dernière permet en effet d’appréhender les profondes transformations qui affectent les différents groupes sociaux, et parmi eux ceux qui englobent les agents des fonctions publiques, d’éclairer les effets de la politique de l’Etat et des collectivités publiques sur les structures de notre société, et d’établir autant que possible les liens entre tous ces éléments pour une ouverture sur les perspectives du XXIe siècle.

Sur le plan juridique et institutionnel, les hauts fonctionnaires se situent en dehors des normes générales de la situation de l’ensemble des agents de l’Etat et des collectivités territoriales. Sur le terrain sociologique, on peut les situer dans « les nouvelles classes moyennes supérieures » et certains font même partie des classes dominantes.

Les millions de fonctionnaires et agents publics se situent en partie dans le groupe des sept millions d’ouvriers et principalement dans celui des huit millions d’employés dont la croissance depuis vingt ans est due à la tertiarisation de l’économie et à la féminisation, constituant ensemble la moitié de la population active à laquelle se joignent des millions de retraités.

Par leur niveau de rétribution, leurs qualifications et leurs fonctions, et par leur propre sentiment d’appartenance, les fonctionnaires des catégories A et B font certainement partie du groupe des « nouvelles classes moyennes salariées », et ceux de la catégorie C dont les métiers ont subi des évolutions aussi profondes que ceux du secteur privé, peuvent au moins en partie se rattacher à ce qu’on a appelé le « prolétariat des services ». Mais il faut bien reconnaître que les limites et le contenu de ces groupes sociaux sont imprécis et méritent des analyses plus fines, notamment quand on examine les transformations récentes.

Il y a un quart de siècle, les responsables de la CGT se référaient, pour définir l’orientation de leur action, à ce qu’ils appelaient un « syndicalisme de masse et de classe » et le mouvement syndical des fonctionnaires affilié à cette centrale se réclamait clairement de sa solidarité avec la « classe ouvrière ». Il n’est pas nécessaire de traiter ici des profondes transformations du monde ouvrier au cours de ces dernières décennies dans une économie capitaliste mondialisée, ou des questions qui peuvent se poser à propos des classes sociales et de leurs corollaires que sont la « conscience de classe » ou la « lutte des classes » qui traversaient la société industrielle.

C’est une banalité de dire que les temps ont changé. Encore faut-il analyser les changements qui affectent le monde des « travailleurs de la fonction publique », comme on les appelait parfois, et tenter d’en tirer des vues aussi claires que possible pour l’avenir.

Pierre Rosanvallon et Thierry Pech, évoquant « le chômage, l’exclusion, l’insécurité sociale, la ségrégation territoriale, les sentiments de déclassement » qui « dessinent un monde amer », estiment que « la société française a profondément changé depuis la fin des Trente glorieuses, mais que tout se passe comme si on ne le savait pas encore ». Ils soulignent l’urgence de fonder une « nouvelle critique sociale ». Examinant « la crise démographique des nouvelles classes moyennes » le sociologue Louis Chauvel distingue trois générations :

-celles nées avant les années quarante, venues trop tôt pour connaître les modifications les plus rapides de la structure sociale ;

-les premières générations du baby-boom qui ont fait l’expérience d’une révolution structurelle sans précédent grâce à des investissements publics massifs propres à l’expansion des services publics ;

-les suivantes, qui au mieux ne connaissent plus de grands progrès par rapport aux précédentes.

Il note que le mouvement d’extension des « nouvelles classes moyennes salariées » a marqué « les couches sociales correspondant aux catégories B de la fonction publique, aux instituteurs, aux infirmières et aux travailleurs sociaux, aux techniciens, bénéficiant de salaires situés aujourd’hui un peu au-dessus de 1500 euros mensuels, typiquement employés dans le public, les grandes entreprises ou les collectivités locales. » S’interrogeant sur ce qui se passe en France depuis vingt ans, il répond : « Entre les nouveaux postes disponibles et les jeunes candidats potentiels susceptibles d’y prétendre -au vu de leur diplôme, de leur origine sociale et de leur genre- un rift béant s’est formé. » On sait que les nouveaux arrivants sur le marché du travail connaissent des destins socioprofessionnels significativement moins brillants que leurs aînés il y a dix ou vingt ans, et que les jeunes sont plus exposés à un cumul de difficultés concernant l’accès au logement, à la propriété, à l’emploi... Les sociologues s’accordent à penser que depuis une trentaine d’années, notre pays a traité les jeunes comme une « variable d’ajustement ». C’est une « jeunesse sans destin ». On parle aussi maintenant de l’émergence du « travailleur pauvre ».

Tel économiste estime que « Les professions intermédiaires se divisent de plus en plus profondément entre une fonction publique surdiplômée, agressée par le rétrécissement du périmètre de l’Etat, et des classes moyennes du privé de plus en plus menacées par l’insécurité professionnelle. » Les sociologues constatent que « l’ascenseur social » est en panne, et certains avancent même l’idée qu’en réalité c’est un « descenseur social » qui fonctionne.

Ces éléments de la sociologie contemporaine formulés avant même la crise profonde dans laquelle le monde est plongé, permettent de mieux comprendre les phénomènes de déstabilisation, de déclassement, de décrochage des générations qui affectent les salariés et parmi eux des fonctionnaires confrontés à la politique salariale de l’Etat et autres aspects de la politique générale de la fonction publique.

Le sociologue Eric Maurin considère quele phénomène dominant de la société française, qu’il qualifie de « société à statut » est la « peur du déclassement » présentée comme« l’angoisse » pour chaque Français, et plus précisément pour chaque salarié- qu’il appartienne au secteur privé ou au secteur public- de perdre ce qui constitue sa situation, c’est-à-dire l’emploi, le salaire, les prérogatives. » « En un mot son statut » précise-t-il dès les premières lignes de l’ouvragequi insiste sur la notion de « protection » qui en serait la caractéristique essentielle.

Le terme « statut » constamment utilisé dans le cours de l’ouvrage, a donc un sens général. Il s’applique avant tout aux travailleurs du secteur privé, dans des analyses qui comportent néanmoins de nombreuses références à la fonction publique et à l’attrait qu’elle exerce auprès des jeunes, sans pour autant échapper à un accroissement spectaculaire du nombre des « fonctionnaires surdiplômés », principalement dans les périodes de crise et de récession. L’auteur s’engage d’ailleurs dans ce qu’il appelle dans le titre même de l’ouvrage, une « sociologie des récessions ».

Dans les analyses relatives à la fonction publique et à la situation des fonctionnaires, le terme « statut », s’il recouvre les mêmes données générales, n’en a pas moins une signification juridique précise désignant les textes législatifs, réglementaires constituant le « statut général des fonctionnaires », le cas échéant la jurisprudence qui l’accompagne, ainsi que le système général des rémunérations et celui des retraites dotés de caractères spécifiques.

L’auteur étudie, dans les crises que la France a traversées, le phénomène de « l’anxiété de ceux dont le statut pourrait être menacé ».La « sociologie des récessions » qu’il propose se situe sur un « triple registre social, psychologique et politique » et s’applique en premier lieu aux périodes 1974 et 1993, au cours desquelles s’est produit un afflux de candidatures aux concours de la fonction publique. Il note que « pour la première fois depuis trente ans, une majorité de Français estime que leurs conditions de vie vont se dégrader dans les années à venir. Sans doute faut-il intégrer dans ces considérations le fait que si la fonction publique continue à recruter chaque année un nombre appréciable de nouveaux agents le non remplacement d’une partie des fonctionnaires partant à la retraite restera un des éléments permanents de la politique gouvernementale.

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12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 16:49

Il suffit de lire les publications de l’UGF-CGT et plus largement - sous bénéfice d’inventaire - celles des organisations qui la constituent pour constater que l’Histoire de la fonction publique et celle du syndicalisme des fonctionnaires et les travaux qui leur ont été consacrés sont pratiquement absents.

Pour ce qui me concerne, la question est réglée depuis environ une dizaine d’années, et je ne demande rien : dès lors que je n’ai jamais existé, je n’ai jamais rien écrit.

Alors survient une question venue non pas d’outre-tombe mais de nulle part, à laquelle tout « syndiqué de base » peut trouver une réponse :

L’invitation systématique d’un ancien ministre de la fonction publique aux journées d’études, séminaires et congrès de l’UGFF et l’investissement direct de cette dernière dans la publicité et la diffusion de son récent ouvrage sont-ils conformes aux principes de l’indépendance syndicale et à quelques autres règles élémentaires d’une centrale qui célèbre cette année son 120e anniversaire ?

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Eléments biographiques

   En un demi siècle, j'ai fait "le tour de la table" de la politique de la fonction publique comme syndicaliste, directeur de cabinet du ministre, conseiller d'Etat en service extraordinaire, auteur d'ouvrages.

 

  Né le 2 décembre 1922 à Jurançon (Pyrénées-Atlantiques)

 

-Fonctionnaire

 Receveur divisionnaire des Impôts honoraire

 

-Dirigeant national du mouvement syndical des fonctionnaires (1958-1978)

  Secrétaire du Syndicat national des Contributions indirectes 1958-1963

  Secrétaire général de la Fédération des finances CGT 1963-1970

  Secrétaire général de l’Union générale des fédérations de fonctionnaires (UGFF) et

  Membre du conseil supérieur de la fonction publique 1970-1978

  Membre de la commission exécutive de la CGT 1969-1975.

 

  Membre du conseil d’administration de l’Institut CGT d’histoire sociale.

 

-Directeur du cabinet du ministre de la fonction publique et des réformes administratives  (juin 1981-novembre 1983).

 

-Conseiller d’Etat en service extraordinaire (novembre 1983-novembre 1987).

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