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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 16:13

          Les travaux que j’ai rassemblés dans l’ouvrage intitulé L’Etat et les fonctionnaires et agents publics sont naturellement centrés sur la fonction publique. Mais ils confirment que l’expression « politique salariale de l’Etat » a recouvert en fait, au-delà du régime des rémunérations des fonctionnaires, les classements catégoriels généraux et même des dispositions non salariales constitutives de la politique sociale du gouvernement représenté par le ministère de la fonction publique. De même les discussions que l’on a souvent qualifiées de « salariales » dans le cadre de la « politique contractuelle » instaurée après 1968 étaient  en réalité des discussions annuelles devenues pluriannuelles de caractère général.

         Ces travaux confirment une autre donnée : la « politique salariale de l’Etat » s’est appliquée aux agents  actifs et retraités des trois fonctions publiques, à leurs ayant-droit, mais aussi  aux militaires et aux magistrats ainsi qu’aux personnels des entreprises publiques et de l’ensemble du secteur public, avec les adaptations et les variantes nécessaires.

         Ce vaste champ d’application de la politique salariale de l’Etat est le reflet de la place occupée en France par le secteur public et nationalisé dans tous les domaines de la vie nationale, ce qui explique un  phénomène original qui est apparu avec une particulière acuité dans certaines périodes : les interférences entre cette politique de l’Etat et quelques aspects essentiels de la politique sociale menée par le patronat dans le secteur privé et tout particulièrement dans les grandes entreprises.

 

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 10:36

Qui a dit :

 

« Notre fonction publique est l’une des plus remarquables du monde » 

 

Réponse

 

Nicolas Sarkozy en 2007 (imité par Fillon en 2010)

 

Question

 

Qu’en restera-t-il après cinq ans de RGPP et de « 1 sur 2 » ?

 

Que faire ?

 

Dégager !

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 14:04

    A propos des négociations en cours sur la précarité dans la fonction publique, je reprends les articles publiés dans ce blog, et je répète à ceux qui ignorent l’histoire ou veulent l’ignorer, de quelque côté qu’ils se situent : «  Si on avait mis en application le dispositif adopté en 1983-1984, moyennant quelques améliorations éventuelles concernant les modalités de titularisation, on n’en serait pas là ».

    J’attends de pied ferme qu’on me prouve le contraire !

 

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 10:33

    On sait que probablement peu de gens ont lu les grands textes qui régissent la vie politique, économique, sociale, culturelle de la nation. Le statut général des fonctionnaires n’échappe pas à cette observation. Mais il est un phénomène plus affligeant : que d’âneries peuvent débiter sur ce texte sans en avoir lu une ligne, certains  politiciens et journalistes ?

   Voici donc un pavé dans cette mare. Le titre premier du statut général des fonctionnaires de l’Etat et des collectivités territoriales (loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires) que certains des commentateurs dont il s’agit qualifient de « fossilisé » alors qu’il fait l’objet d’une véritable furie de modifications législatives et réglementaires comprend 31 articles dont 6 constituent le chapitre IV concernant  les obligations des fonctionnaires.

 Art 25- Obligation de consacrer l’intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées. Interdiction de prendre des intérêts de nature à compromettre leur indépendance dans une entreprise soumise au contrôle de l’administration.

Art 26- Secret professionnel dans le cadre des règles du code pénal. Discrétion professionnelle.

Art 27- Devoir de satisfaire aux demandes d’information du public.

Art 28- Responsabilité de l’exécution des tâches. Soumission au pouvoir hiérarchique.

Art 29- Sanction disciplinaire des  fautes commises sans préjudice des peines prévues par la loi pénale.

Art 30- Règles relatives à la suspension  des fonctions.

      Parmi les 6 articles concernant les « garanties » (liberté d’opinion, droit syndical, participation, droit de grève ) il en est un dont on reparlera : l’article 11 qui prévoit que

« … La collectivité publique est tenue de protéger les fonctionnaires contre les menaces, violences, voies de fait, injures, diffamation ou outrages dont ils pourraient être victimes à l’occasion de leurs fonctions, et de réparer, le cas échéant, le préjudice qui en est résulté. »

 

 

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 09:36

    Dans un article publié au début de ce mois de janvier 2011, j’annonçais un « changement de cap » dans les modalités de diffusion de mes travaux relatifs à l’histoire de la fonction publique et du syndicalisme des fonctionnaires.

    Les lecteurs de ce blog peuvent constater  que deux semaines plus tard, ce changement est largement engagé par la publication numérique sur le site Calaméo, de mon ouvrage  L’Etat et les fonctionnaires réparti en trois tomes et de sa mise à la disposition du public en dehors des contraintes et des blocages de l’édition.

    Cette initiative n’aura  de sens que si elle est relayée par les lecteurs individuels ou par les sites qui s’intéressent à ces questions et qui sont convaincus de l’utilité de la connaissance de l’histoire. Je fais appel à eux.

     En cette période où le problème d’une fonction publique efficace au service de l’intérêt général est posé avec une particulière acuité, et pourrait l’être davantage encore lorsque les surenchères électorales se donneront libre cours, chacun peut vérifier dans les médias les effets de l’ignorance, de la mauvaise foi ou du simple rabâchage d’affirmations parfois usées jusqu’à la corde.

 

 

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 07:17

      Le tome III de  l’Etat et les fonctionnaires  (les fonctions publiques de 1986 à 2006) est inséré en publication numérique sur le site Calaméo.

     Comme nous l’avons fait pour les tomes I et II, le texte de l’Avant-propos  et un peu plus tard celui de la Table des matières  sont publiés dans ce blog  pour inciter les lecteurs  à consulter  cet ouvrage

 

 

 

                                                                                Avant-propos

 

 

    Ce texte traitant de l’histoire de la politique salariale de l’Etat et de l’organisation des carrières des fonctionnaires  a été divisé en trois tomes pour en faciliter l’accès dans le site Calaméo :

 

-Tome I - Du XIXe siècle à la fin de la IVe République

-Tome II- Des débuts de la Ve République à 1986

-Tome III- Les fonctions publiques de 1986 à 2006.

 

     L’Avant-propos du tome I énonçait deux sortes de considérations :

 

1°-  «  S’agissant d’une contribution à l’histoire, on pourrait se demander si la période 1986-2006 doit y être incluse. La réponse est positive pour un ensemble de raisons. Au cours de cette période caractérisée par les alternances et les « cohabitations », des réformes structurelles majeures  marquent à la fois  – qu’il s’agisse de la politique salariale de l’Etat ou de la politique statutaire et catégorielle – une rupture avec les périodes précédentes, et une continuité de l’action gouvernementale qui l’emporte largement sur les différences. Bien qu’elle ne dispose pas de tout le recul nécessaire, elle est une histoire du temps présent indispensable à la compréhension des débats et décisions en cours et des questions essentielles de l’avenir de la fonction publique en France en ce début de XXIe siècle. »

       Il reste que cette période devra certainement donner lieu à des travaux plus approfondis.

2°- « Une  approche générale d’un aussi  vaste domaine et des écrits qui lui ont été consacrés met en évidence un aspect original d’une grande portée : aucun auteur, qu’il soit historien, juriste, spécialiste de science administrative, économiste… n’échappe, de propos délibéré ou à son corps défendant,  à l’obligation d’évoquer le mouvement syndical des fonctionnaires comme un acteur  important  de l’histoire administrative. Un concept qui ne peut en aucun cas être confondu avec ceux  de « pouvoir syndical » ou de « cogestion » parfois avancés, et qui recouvre  des données très différentes selon les époques.

     Aussi l’ouvrage est-il une version considérablement revue et aménagée d’écrits antérieurs de l’auteur depuis longtemps épuisés, reprenant sans pour autant être exhaustif, ceux des développements concernant le syndicalisme des fonctionnaires qui apparaissent indispensables à une bonne compréhension du sujet. »

 

     Les écrits de  l’auteur  relatifs à l’histoire du mouvement syndical des fonctionnaires résultant de ses travaux de recherche et s’appuyant sur sa propre expérience s’appliquent à une longue période allant jusqu’en avril 1981.Les références au mouvement syndical qui peuvent figurer dans les analyses portant sur les périodes postérieures (qui font l’objet du présent tome) n’ont pas la même portée. L’auteur exerçait, en effet, d’autres fonctions et n’a pas poursuivi ses travaux en ce domaine. L’histoire du mouvement syndical des fonctionnaires et de son rôle dans la politique générale de la fonction publique au cours de ces trois dernières  décennies, est un  champ de  recherche qui  reste  très largement ouvert.

 

 

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 09:10

   Le tome II de l’Etat et les fonctionnaires (Des débuts de la Ve République à 1986) vient d’être inséré en publication  numérique  sur le site CALAMEO.

   Comme nous l’avons fait pour le tome I, voici la Table des matières de ce tome II.

Première partie : Les premières années de la Ve République

La refonte statutaire de la fonction publique de l’Etat                                       

L’Ordonnance du 4 février 1959-Dispositions constitutionnelles et statutaires concernant les hauts fonctionnaires- L’Ordonnance du 4 février 1959-

2

Une nouvelle étape de la politique salariale                                                

La revalorisation des traitements 1959-1960- La remise en ordre des rémunérations (1961-1962)-L’harmonisation avec le secteur public et nationalisé-La poursuite des Reclassements catégoriels généraux Une nouveauté dans le recrutement des non titulaires : les contractuels

6

Le grand tournant de la Ve République (1962)                                 

 

14

Deuxième partie : La politique des masses salariales (1963-1968)

1963, « année sociale » ?                                                                            

La politique des revenus-Le plan de stabilisation-La réglementation du droit de grève et des retenues de traitement

14

Le malaise du secteur public et nationalisé                                          

 

16

La grève des mineurs et ses suites                                                             

Le décret de réquisition-Le Comité des sages-Le décret de réquisition-Le « plan Toutée »

16

La fonction publique hors procédures                                                      

Les élections sociales-La réforme des retraites de 1964-Le minimum de rémunération- L’évolution du statut général des fonctionnaires ce 1959 à 1968

18

L’accord CGT-CFDT et le climat social des années 1966-1968           

 

21

Deux domaines nouveaux de l’action syndicale                                        

Une campagne syndicale contre la « fiscalité de classe »-Les réformes administratives

23

Troisième partie : La politique contractuelle (1968-1981)

Prémices et premiers pas                                                                              

Le constat de Grenelle-Une première dans l’histoire de la fonction publique : le constat Oudinot-La mise en œuvre des engagements-La commission Masselin et la réforme des catégories C et D-Les contrats de progrès du secteur nationalisé-Le constat de la fonction publique 1970-I971,une année charnière entre deux périodes-Un témoignage accablant -L’accord préfabriqué du 12 novembre 1971-Une grave crise à la fédération CFDT  

 

26

Les accords salariaux de la période 1972-1980

Le maintien du pouvoir d’achat en niveau

L’intégration de l’indemnité de résidence et la contraction des Les augmentations du traitement de base-Les évolutions de la clause de sauvegarde-zones-a prime d’installation-Le supplément familial-Le paiement mensuel des pensions de retraite                                     

La progression différenciée du pouvoir d’achat

Les points uniformes et dégressifs-Les autres mesures spécifiques sur les bas salaires-Les effets sur le minimum de rémunération et sur la grille-Le rapport constant

Les reclassements catégoriels

La catégorie B -La catégorie A- L’acte de baptême des statuts d’emploi

Les dispositions non salariales

38

Des questions classiques et récurrentes 

L’exercice des droits syndicaux-La réforme des organismes paritaires-De nouvelles atteintes au droit de grève-Au-delà de la résorption de l’auxiliariat-La protection sociale des non titulaires                                                                           

54

Des appréciations divergentes sur la politique contractuelle                    

 

57

La disposition des forces syndicales et leur action                                                 

 

59

Quatrième partie : La gauche au pouvoir : la  législature 1981-1986

La mise en place d’une nouvelle politique 

Des mesures politiques, économiques et sociales immédiates -L’état des lieux- Mesures salariales pour les fonctionnaires- Négociations salariales : relevé de conclusions du 30 septembre 1981-L’organisation des moyens de la concertation- Une opération « vérité » sur l’influence des syndicats- Un contexte nouveau- L’acte de la concertation                                                                                                                        

 

62

La politique salariale 1982-1984                                                                  

Perspectives de remise en ordre des rémunérations- L’accord salarial du 10 mars 1982- Le blocage des revenus et des prix- L’accord salarial du 22 novembre 1982- Une année sans accord salaria, 1984- Les contradictions et les limites de la politique contractuelle.

71

Un ensemble de réformes                                                                               

Les droits syndicaux et le doit de grève, les organismes paritaires-Une nouvelle politique de l’emploi public-La gestion prévisionnelle des effectifs CHEOPS- Le recrutement des non titulaires et la titularisation- Une série de rapports au ministère de la fonction publique (encadré)

80

Le statut des fonctionnaires de l’Etat et des collectivités territoriales     

L’articulation entre les réformes de la fonction publique et la décentralisation- L’enjeu des réformes statutaires-Les différentes phases de la préparation et de l’adoption du nouveau statut-Le statut des personnels de la recherche-La réalité des conceptions divergentes- Le contenu et la portée du nouveau statut- Les dispositions en matière de rémunérations et d’organisation des carrières

85

Une gestion infléchie dans une politique de rigueur (1984-1986)             

La mise en œuvre du statut général- La fonction publique territoriale en situation transitoire-La création in extrémis de la fonction publique hospitalière- L’accord salarial du 13 février 1985-Les inflexions de la politique budgétaire- Une mise en œuvre partielle du plan de titularisation- La fin de la législature

95

L’état de la fonction publique : regard sur le siècle                                     

Le terrain statutaire-la politique salariale-la politique de l’emploi public- Les rapports entre l’Etat et les fonctionnaires

100

                                                                                         

 

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 08:31

    L’histoire de la politique salariale de l’Etat qui s’est affirmée comme telle après la Seconde guerre mondiale et surtout sous la forme de la politique des « masses salariales » après la grève des mineurs en 1963 et de la « politique contractuelle » qui a suivi le mouvement de mai 1968 est le thème central de l’ouvrage L’Etat et les fonctionnaires

   Dans le tome1, plusieurs chapitres sont consacrés notamment au régime des rémunérations des fonctionnaires  en vigueur de la fin du XIXe siècle au lendemain de la Libération, au nouveau régime instauré par le statut général des fonctionnaires et par le Reclassement général des emplois, aux premières mesures de remise en ordre des rémunérations de la fonction publique et d’harmonisation avec le secteur public et nationalisé à cheval sur deux Républiques ( la IVe et la Ve )  et aux premiers reclassements catégoriels généraux.

 

    Pour en savoir plus, consulter la  publication numérique de L’Etat et les fonctionnaires sur le site CALAMEO.

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 06:23

     Pour ses déclarations maladroites et inopportunes sur « l’emploi à vie » des fonctionnaires, Christian Jacob s’est fait remonter les bretelles en ces termes par le Premier ministre :

« Il ne faut pas radicaliser des oppositions factices. Il ne faut pas laisser entendre que l’Etat distribuerait des rentes à vie »  

     Pour bien comprendre la portée de ces polémiques verbales, et le contexte dans lequel elles s’inscrivent, il est nécessaire de s’informer en consultant notamment les publications des organisations syndicales de fonctionnaires.

     Ici, on se consacre à leur donner un éclairage  historique. Le Premier ministre n’a-t-il pas rappelé que « nous avons une fonction publique de carrière recrutée par concours, qui fait l’armature d’un Etat impartial avec une culture de service public et une compétence que bien des gouvernements étrangers nous envient » ?

     Encore faudrait-il que les actes concrets de la politique gouvernementale correspondent à ces principes.

 

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9 janvier 2011 7 09 /01 /janvier /2011 08:37

    Comme annoncé  dans un article intitulé « Changement de cap », la publication numérique de l’ouvrage L’Etat et les fonctionnaires, de la plume sergent-major à internet, qui est une histoire de la politique salariale de l’Etat et de l’organisation des carrières des fonctionnaires, a été engagée.

     Le tome 1 qui s’applique à la période du XIXe siècle à la fin de la IVe République, a été inséré dans le site CALAMEO.

     Bientôt c’est le tome 2 relatif à la période des débuts de la Ve République à 1986,  qui le sera, en attendant le tome 3 qui viendra dans la foulée pour traiter des fonctions publiques des deux décennies 1986-2006.

      Ainsi j’aurai apporté à l’histoire de la fonction publique, une nouvelle contribution dont chacun pourra juger l’intérêt et la pertinence en dehors des contingences de toutes sortes  qui auraient pu y faire obstacle.

     D’ores et déjà, il faut appeler l’attention sur le fait que la moitié du texte du tome 2 s’applique à la politique de la fonction publique pendant la première législature du premier septennat de François Mitterrand et que cette relation pourrait  s’inscrire dans l’actualité  du  quinzième anniversaire de la mort de ce dernier1.

      Quel que soit le jugement porté sur l’ensemble de la politique de François Mitterrand et des deux gouvernements Pierre Mauroy et Laurent Fabius il n’est pas outrecuidant de rappeler que les lois de décentralisation de 1982 en sont une des pièces maîtresses, et que la publication du statut général des fonctionnaires de l’Etat et des collectivités territoriales s’appliquant à cinq millions de salariés au service de l’intérêt général en fut un corollaire essentiel, même si F. Mitterrand a pris par la suite quelques distances avec certaines dispositions du statut.

       Dans le tome 3, on pourra  trouver une analyse de ce qui en reste après vingt ans de « cohabitations » et « d’alternances » et s’interroger sur « l’estocade » qu’un quinquennat se situant dans la continuité de l’actuel ne manquerait pas de porter à un ensemble législatif, réglementaire et jurisprudentiel constitutif de la « conception française de la fonction publique » qui résulte d’un affrontement séculaire entre des conceptions opposées de l’Etat, des institutions et de la démocratie.

      

 

1- Directeur du cabinet du ministre de la fonction publique et des réformes administratives (Anicet Le Pors) de juin 1981 à novembre 1983, et nommé Conseiller d’Etat en service extraordinaire par François Mitterrand pour poursuivre le travail accompli, je ne suis pas plus mal placé que certains personnages nantis  de titres et de fonctions pour parler de ces questions et de cette période.

 

 

 

 

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Eléments biographiques

   En un demi siècle, j'ai fait "le tour de la table" de la politique de la fonction publique comme syndicaliste, directeur de cabinet du ministre, conseiller d'Etat en service extraordinaire, auteur d'ouvrages.

 

  Né le 2 décembre 1922 à Jurançon (Pyrénées-Atlantiques)

 

-Fonctionnaire

 Receveur divisionnaire des Impôts honoraire

 

-Dirigeant national du mouvement syndical des fonctionnaires (1958-1978)

  Secrétaire du Syndicat national des Contributions indirectes 1958-1963

  Secrétaire général de la Fédération des finances CGT 1963-1970

  Secrétaire général de l’Union générale des fédérations de fonctionnaires (UGFF) et

  Membre du conseil supérieur de la fonction publique 1970-1978

  Membre de la commission exécutive de la CGT 1969-1975.

 

  Membre du conseil d’administration de l’Institut CGT d’histoire sociale.

 

-Directeur du cabinet du ministre de la fonction publique et des réformes administratives  (juin 1981-novembre 1983).

 

-Conseiller d’Etat en service extraordinaire (novembre 1983-novembre 1987).

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