Le blog (accompagné de publications numériques) auquel j’ai recours depuis bientôt cinq ans dans l’ultime phase de mon parcours personnel, présente d’incontestables avantages.
Il me permet de reprendre, d’approfondir des textes résultant de travaux de recherche et de réflexion menés pour certains de longue date dans un champ clairement défini et délimité et de leur donner une certaine diffusion. Il me permet aussi d’apporter un éclairage en exprimant des témoignages inédits et d’établir des contacts avec des personnes qui s’interrogent sur divers aspects de l’histoire de la fonction publique.
Ma façon personnelle d’intervenir sur le terrain de l’avenir de la conception française de la fonction publique réside dans une contribution à la connaissance de l’histoire considérée comme une condition majeure, en refusant toute instrumentalisation d’où qu’elle vienne (nous en reparlerons).
C’est une tâche dont la réalisation ne bénéficiera jamais des moyens politico-médiatiques et des réseaux de relations (que je n’ai d’ailleurs jamais recherchés) et dont disposent largement les écrits dont je serai amené à critiquer ou à nuancer le contenu.
Il paraît légitime de souhaiter pour cette démarche une audience plus large et mieux structurée permettant de mettre au jour et d’identifier sans complaisance un certain nombre d’obstacles et d’avancer quelques idées.
Il me revient de prendre et de poursuivre dans cet esprit les initiatives qui s’imposent.
Mais un soutien affirmé des lecteurs qui s’intéressent aux sujets traités et souhaitent leur diffusion - ne serait-ce que dans le cadre de la « liberté d’expression » dont on nous parle tant aujourd’hui à juste titre - et le relais d’organismes qui disposent de sites et moyens d’expression sont nécessaires.
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