On peut avoir d’innombrables raisons d’apprécier, de critiquer, de contester ou rejeter le contenu d’un texte, ou même d’en ignorer plus ou moins délibérément l’existence ou d’être hostile à son auteur sans être tenu de s’en expliquer.
Mon ouvrage L’Etat et les fonctionnaires de la plume sergent-major à internet qui est une histoire de la politique salariale de l’Etat de la fin du XIXe siècle à nos jours allant bien au-delà des questions propres aux rémunérations - et la douzaine d’autres textes concernant l’histoire de la fonction publique et du syndicalisme des fonctionnaires pour un total de 800 pages insérés sur le site Calaméo - ne sauraient échapper au sort commun.
Mais à l’heure où de grands journaux créent des éditions « numériques » largement accessibles et consultables dans des présentations qui ne manquent pas d’attraits, où on peut lire des œuvres littéraires sur son Ipad, il serait plus difficile de comprendre que cet ouvrage ne soit pas considéré pour ce qu’il est ( un livre) du seul fait ( ou sous le prétexte) qu’il n’a pas été l’objet d’une édition « papier » soumise aux considérations commerciales ou autres de certains éditeurs ou aux contraintes de « l’autoédition » et qu’il est publié à titre gratuit sur un site numérique en dehors de toute attente d’improbables droits d’auteur.
Les extraits concernant notamment la fonction publique territoriale qui seront repris dans de prochains articles renverront à l’un des trois volumes à consulter sur le site Calaméo dont j’ai eu l’occasion de dire qu’il est assez régulièrement « visité » et dont j’espère qu’il le sera davantage dans les jours à venir.
En revanche, si cela peut rassurer ceux qui ont des difficultés ou des réticences à l’égard du « numérique », toutes les études qui seront mentionnées dans la bibliographie de mes articles et études (comme mes ouvrages, pour la plupart épuisés et donc d’un accès plus difficile) sont naturellement sur « papier ».
C’est un « ancêtre » (conscient que le livre « papier » n’est pas mort et s’en félicite, mais décidé à agir avec son temps) qui vous le dit !