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Ma démarche ne porte pas, à proprement parler, sur la diffusion et la promotion de mes ouvrages et publications. Ils n’ont jamais tenu en tant que tels dans les activités d’organisations politiques, syndicales ou associatives dont on peut estimer qu’elles constituaient ma « famille », la place qu’on était en droit d’envisager en considérant leurs propres orientations. Le comportement de certains éditeurs ( ou prétendus tels) a révélé d’autre part de sévères lacunes.
Les sujets traités sont essentiellement des analyses et des témoignages portant sur des faits et des périodes concernant principalement l’histoire du syndicalisme général des fonctionnaires dans sa relation avec l’Etat, dans ses relations internes, et celle de la politique de l’Etat dans le domaine de la Fonction publique et des services publics dans une longue période de la fin du XIXe siècle et d’une large partie du XXe, prolongés par l’exercice des fonctions de directeur de cabinet du ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la fonction publique et des réformes administratives (1981-1983) puis de Conseiller d’Etat en service extraordinaire (1983-1987) et par de nouvelles contributions au long des trente années qui ont suivi.
En ce qui concerne la Commune de Paris, je me suis également largement expliqué sur le contenu et la portée de mes travaux.A ceux qui évoquent la Commune dans diverses villes de province sans référence aux travaux réalisés sur les archives provinciales qui ont été probablement enterrés il y a plus de dix ans dans la cave des « Amis de la Commune » au lieu de constituer la base d’un 2e volume du « Guide des sources d’archives », je suggère de procéder à une certaine promotion de ce « Guide » qui reste une réalisation marquante.