Dans les conditions générales du « confinement », je ne suis plus en état physique, essentiellement en raison de difficultés liées à mon « grand âge », de prendre des contacts, d’organiser des rencontres, ou même de répondre aux invitations que je reçois encore. D’autre part, je réside désormais une bonne partie de l’année en dehors de Paris et de l’Ile de France. Il en résulte une absence de confrontations directes et contradictoires et de participation à des activités et à des débats actuellement caractérisés par le rejet d’aspects que j’estime essentiels de l’histoire de la fonction publique, du syndicalisme des fonctionnaires.
Pour son assemblée générale du 16 novembre, l’Institut CGT d’Histoire sociale diffuse auprès des membres de son conseil d’administration les documents sur lesquels ils sont appelés à voter. Le bureau ayant décidé de « ne retirer les candidatures d’aucun membre précédemment élu sans une demande de leur part », ma candidature à un organisme dont je suis membre depuis sa création en 1982 par Georges Séguy relève en l’état actuel, de ma seule appréciation personnelle.
Sur le fond, il se trouve que la page de l’IHS est tournée depuis plusieurs années dans des conditions que j’ai clairement exposées. La lecture du Rapport du président actuel (que je ne connais pas et qui ignore mon existence et mes publications même lorsque ces dernières ont été réalisées au sein et pour le compte de l’IHS et celle des autres documents, consacrent nettement ce divorce et mon absence de relations ou ma rupture avec certaines organisations syndicales et personnalités.