La qualification de « réformistes », voire de « réformatrices » est attribuée dans le langage médiatique et même dans celui de certains spécialistes de « sciences sociales » à plusieurs organisations syndicales, alors que d’autres sont présentées comme « contestataires » refusant la « réforme » et la « négociation ».
Pour la longue période de mon « parcours » de responsabilités politiques, syndicales, ministérielles juridiques et administratives et de recherches historiques dans la Fonction publique qui reste mon domaine d’investigation, mes écrits portent témoignage que cette présentation de la réalité politique économique et sociale et de son Histoire est complètement fausse.