Dans la publication numérique dont une nouvelle version vient d’être insérée sur mon compte Calaméo sous le titre « L’unité d’un parcours citoyen et militant de plus de trois quarts de siècle » j’accompagne mon analyse des malentendus survenus avec mes camarades de l’Institut CGT d’histoire sociale de ce commentaire quelque peu désabusé :
« …il est apparu assez vite que je ne suis plus guère en état physique, en raison de difficultés rhumatismales de déplacement, de prendre des contacts, d’organiser des rencontres, ni même de répondre aux invitations que je reçois ou d’assister aux diverses activités et manifestations. Il en est résulté une absence de confrontations directes et contradictoires et de participation à des activités et à des débats dans lesquels les questions relatives à l’histoire de la fonction publique et du syndicalisme des fonctionnaires pourraient éventuellement occuper leur place »
Dans le même temps, je ne renonce pas à l’expression de mes idées et à la poursuite de ma démarche. Bien au contraire. Et voilà que mon ami Guy Hervy, ancien cheminot militant, reposte régulièrement mes articles de la série en cours « Pages d’histoire » dans son blog « Canaille le rouge » et m’adresse ce message :
« J'ai pris la liberté de faire rebondir sur mes pages les pages d'histoire que tu mets en ligne depuis quelques jours. Je suis de ceux qui pensent que nombre de militant ne prennent pas la mesure de l'attaque et donc de la riposte à construire. je crois aussi que d'autres sous la pression ont un fort besoin de points d'appuis et d'outils de réflexion. Tes p@ges sont un des moyen d'y aider. Donc je fais du"prosélytisme positif".Bien sur si cela posait problème dis le moi et je rectifierai »
Non seulement cette initiative me réconforte, mais je pense que si elle était imitée par d’autres amis dont je sais qu’ils approuvent également ma démarche, cela pourrait peut-être contribuer à faire « bouger les lignes ».