Après avoir défoncé des portes largement ouvertes en rappelant que le quinquennat ( à l’avènement duquel je n’ai personnellement contribué en aucune façon) a fait entrer notre pays dans des problèmes d’une grande acuité, je vais aggraver mon cas.
En poursuivant une démarche qui me serait interdite si nous n’étions pas entrés dans le numérique et où j’ai de bonnes raisons de penser que je ne rencontrerai pas - s’ils ne changent pas leur fusil d’épaule - ceux de mes amis qui se sont fait donner mandat d’étudier et de diffuser l’histoire sociale.
Grâce aux informations diffusées par mon Syndicat CGT Finances publiques, j’ai pris connaissance du Rapport « Cap 22 » que le gouvernement a décidé de ne pas divulguer de manière à mieux tenter d’imposer sa politique.
Simple citoyen se situant en dehors de tous les circuits, je ne demande rien. Comme aurait dit ma grand-mère, mon avenir est derrière moi, et je n’attends pas qu’on s’occupe de mon ego.
Cela dit, j’affirme – et j’accepte qu’on y voie un défi – que ceux qui auront acquis une bonne connaissance de l’histoire de la Fonction publique française et des luttes des fonctionnaires auront tendance à s’opposer à la plupart des propositions de CAP 22 et à contribuer à faire échec aux entreprises de Macron et Cie.
A très bientôt.