Le rapport du jury du dernier concours de l’Ecole nationale d’administration déplore que « la lecture et la compréhension du sujet posent encore problème à de trop nombreux candidats ». Mais il se refuse, paraît-il à des « considérations déclinistes ».
Par définition étranger à ce jargon (regardez mon « parcours »), j’aimerais qu’on explique dans ces conditions, ce qu’on attend des hauts fonctionnaires du XXI e siècle. Devant le spectacle de la « classe politique », issue ou non de l’ENA, de Sciences Po et autres grandes écoles et ravagée comme jamais par « l’égo », certains pensent qu’on est plutôt mal barrés.